Archives pour la catégorie Mes réactions, mon action

Votons Jean-Luc Mélenchon

L’appel de votre Député
Le 23 avril,
Faisons élire Jean-Luc Mélenchon


Depuis 5 ans, le Gouvernement déçoit largement les ambitions que beaucoup d’électeurs avaient placées en lui pour réaliser le changement promis. Austérité, loi travail, explosion du chômage : le bilan est catastrophique.

Les communistes ont fait le choix de soutenir la candidature de Jean-Luc Mélenchon qui est le seul à proposer un autre chemin.

Porteur d’un programme cohérent et chiffré, Jean-Luc Mélenchon met en avant la nécessité de passer à la 6e République pour tourner la page de la monarchie présidentielle qui étouffe littéralement notre démocratie. Comme lui, je pense qu’il est plus que temps d’en finir avec le règne de l’argent-roi qui épuise les êtres humains et la nature.

Devant l’état d’urgence sociale, Jean-Luc Mélenchon est également l’un des rares candidats à vouloir augmenter directement les salaires et les petites pensions, tout en rétablissant le droit à la retraite à 60 ans.

Je suis persuadé que les Français sont prêts à mettre fin au pillage économique de la nation par une minorité de privilégiés qui ne cesse de se gaver et de tricher. La dynamique grandissante autour de sa candidature en est la preuve.

Enfin, face à l’escalade militaire qui se dessine, il est important de choisir un candidat capable d’agir concrètement pour la paix, notamment en proposant la sortie de notre pays de l’OTAN et en favorisant la diplomatie plutôt que la guerre.

Avec votre bulletin de vote, vous pouvez contribuer à faire naître une nouvelle majorité politique à laquelle travaille le Parti Communiste Français. Je vous invite à accorder votre suffrage à Jean-Luc Mélenchon pour que, tous ensemble, nous relevions la tête et allions vers des jours heureux.

        Jean-Jacques Candelier, Député du Nord

Il faut sécuriser d’urgence les voies de circulation du triage de Somain

Depuis quelques mois, les accidents se succèdent sur le triage. Le risque pour la population peut être dramatique en cas d’échappement potentiel de matières dangereuses. Il faut que la SNCF prenne ses responsabilité !

J’ai écrit en ce sens à Guillaume PEPY.

Pour le maintien de l’instruction des cartes d’identité dans toutes les communes

J’ai récemment saisi le Premier Ministre sur la réforme de la délivrance des cartes d’identité. Imposée sans concertation, celle-ci pose de nombreux problèmes pour les habitants comme pour les communes.

Dans le département du Nord, sur 648 communes, 49 seulement pourront délivrer les cartes d’identités selon la préfecture. Pour le Douaisis, seules les communes de Douai, Arleux, Orchies et Aniche pourront continuer à instruire les demandes. Il faut donc revenir sur cette décision néfaste !

Ma question écrite :

Jean-Jacques Candelier attire l’attention de Monsieur le Premier Ministre sur la réforme de la délivrance des cartes d’identité. Imposée sans concertation, celle-ci pose de nombreux problèmes. Désormais, seules les municipalités disposant d’un dispositif de recueil des empreintes digitales seront habilitées à délivrer des cartes nationales d’identités. Environ 34 000 communes se retrouvent donc privées de cette compétence. Cette décision écarte et éloigne les citoyens des services de proximité. Pour les personnes ayant des difficultés à se déplacer, il sera compliqué de se rendre dans les communes qui ont reçues la charge de ce service. Enfin, les compensations reçues par les communes éligibles ne couvrent pas les frais supplémentaires pour assurer cette responsabilité. La crainte d’un engorgement est également présente car avec peu de communes équipées, nous risquons de constater un afflux important des demandes dans les mairies concernées. Dans le département du Nord, sur 648 communes, 49 seulement seront équipés selon la préfecture. Pour le Douaisis, seules les communes de Douai, Arleux, Orchies et Aniche pourront continuer à instruire les demandes. Il demande au Premier Ministre de revenir sur cette décision néfaste qui remet en cause l’existence des communes et qui pose un sérieux problème de mobilité pour nos concitoyens.

Lafarge, qualité des offres sur le site de pôle emploi, consultations médicales, mes dernières questions écrites

J’ai récemment interrogé le Gouvernement sur différents thèmes.

Voici trois de ces questions :

Le site de pôle emploi diffuse des offres illégales.

M. Jean-Jacques Candelier alerte Mme la ministre du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social sur la qualité des offres diffusées sur le site de pole-emploi.fr. Selon une récente enquête de la CGT, 50,3 % des offres mises à disposition des demandeurs d’emploi sont illégales. Alors que certains candidats à la présidentielle proposent de supprimer les indemnités chômage après deux refus « d’offre décente d’emploi », il est important de noter que ces offres, pourtant illégales, sont considérées comme des « offres raisonnables ». Elles peuvent donc également servir à radier les privés d’emploi. Devant la gravité de la situation qui met à mal la mission de service public de Pôle emploi, il lui demande si elle peut étudier la possibilité de mettre en œuvre un moratoire sur toute radiation tant que la légalité des offres n’aura pas été contrôlée par des agents formés.
> http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-103578QE.htm

Lafarge aurait financé le groupe terroriste Daech.

M. Jean-Jacques Candelier attire l’attention de M. le secrétaire d’État, auprès du ministre de l’économie et des finances, chargé de l’industrie, du numérique et de l’innovation sur les aveux d’un géant du sable et du ciment français qui vient d’admettre avoir conclu des arrangements « inacceptables » avec Daech. L’entreprise aurait contribué au financement de l’organisation terroriste pour poursuivre l’exploitation d’une cimenterie en Syrie, en 2013 et 2014. Ce groupe français membre du CAC 40 et dont le chiffre d’affaires s’est établi à 12,8 milliards en 2014 illustre la réalité du financement de Daech par les circuits conventionnels des affaires et des banques. Alors que des collectivités continuent à collaborer avec l’entreprise complice des terroristes, il lui demande comment le Gouvernement compte réagir à ce scandale. Devant la gravité des faits qui portent atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation, il l’interroge notamment sur la possibilité de mettre en œuvre une réquisition du groupe, à l’instar du sort réservé à Renault en son temps pour avoir collaboré avec les nazis.
> http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-103497QE.htm

De plus en plus de difficulté pour consulter un médecin.

M. Jean-Jacques Candelier interroge Mme la ministre du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social sur les difficultés que rencontrent de nombreux Français pour pouvoir consulter leur médecin généraliste. À l’heure où les consultations sans rendez-vous sont en désuétude chez beaucoup de professionnels de santé, il n’est pas rare qu’un salarié soit contraint à choisir un rendez-vous médical en contradiction avec son emploi du temps professionnel. De plus en plus de personnes sont donc obligées de prendre des congés pour pouvoir se soigner. Au-delà des évidentes limites sur le droit à la santé pour tous, cela rompt avec l’esprit du Front populaire et des accords Matignon qui prévoyaient que les semaines de congés payés soient octroyées aux travailleurs pour les loisirs. Il lui demande donc d’étudier la possibilité de créer un nouveau droit de compensation des congés pris dans le cadre d’un rendez-vous médical.
> http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-103437QE.htm


> Toutes mes questions écrites disponibles ici : http://www2.assemblee-nationale.fr/deputes/fiche/OMC_PA267492

La France doit s’engager pour un monde sans armes nucléaires.

Hier, le 27 mars 2017, s’est ouvert à New-York des négociations visant à la fin des armes nucléaires ; elles font suite à l’adoption par l’Assemblée générale de l’ONU le 23 décembre 2016 de la résolution L 41 portant sur la conclusion d’un traité d’interdiction des armes nucléaires.

Alors que la France est signataire du Traité de Non-Prolifération nucléaire (TNP) dont l’article 6 l’engage à œuvrer en faveur du désarmement nucléaire et d’un désarmement général, multilatéral, négocié et contrôlé, elle a voté contre la résolution L. 41 et ne sera pas présente lors des discussions qui débutent à New-York. Les armes nucléaires étant les dernières armes de destruction massive à ne pas être soumises à une interdiction, je considère ce vote comme allant à contresens de l’histoire.

La Frjtance, comme les États-Unis, la Russie et la Grande-Bretagne, a tenté d’empêcher ces négociations initiées par des pays porteurs d’une approche humanitaire ; celle-ci met au centre des préoccupations non seulement la sécurité des puissances nucléaires, mais aussi celle de l’ensemble des États potentiellement victimes de l’emploi des armes nucléaires.

Les négociations ont de bonnes chances d’aboutir à un projet de traité d’interdiction et d’élimination des armes nucléaires, d’autant que deux puissances nucléaires, l’une signataire du TNP, la Chine et l’autre non signataire, l’Inde, ont manifesté l’intention de participer aux négociations. Il est temps que la France prenne la mesure de ces évolutions au plan international et joue un rôle actif dans le processus en cours.

J’ai dénoncé la politique de la chaise vide de la France à plusieurs reprises. J’appelle aujourd’hui le Gouvernement à rejoindre le processus de négociation qui commence en proposant des mesures concrètes pour avancer vers un processus de désarmement progressif multilatéral.

Les raisons de mon départ du Palais Bourbon, mes conseils pour l’avenir.

Voici l’appel qui sera distribué dans les villes de la circonscription.

N’hésitez pas à le partager. jean-jacques-candelier_alain-bruneel_2017jean-jacques-candelier_alain-bruneel_2017-2

Une peine exemplaire pour les agresseurs de Théo

Il y a quelques jours, un jeune homme de 22 ans était gravement blessé lors d’une interpellation de police.

Aujourd’hui, l’IGPN contredit la thèse du « viol » alors qu’un médecin a pourtant diagnostiqué une plaie longitudinale du canal anal profonde de 10 cm et une section du muscle sphinctérien dû à l’enfoncement d’une matraque dans les fesses de la victime, toujours hospitalisée.

En plus des coups violents, de l’arbitraire, de l’humiliation, des insultes racistes, cette agression barbare se double aujourd’hui d’un déni de réalité.

12 ans après les meurtres de Zyed et Bouna à Clichy-sous-Bois, quelques mois après le meurtre d’Adama Traoré ou de Rémy Fraisse, il est temps que l’impunité cesse.

La justice ne peut continuer à acquitter les dominants et à condamner avec une rapidité éclair les dominés.

Il n’est pas possible de demander aux jeunes, notamment dans les quartiers populaires, d’adhérer à une République qui peine à reconnaitre la liberté de circulation, l’égalité des droits, et la justice réelle pour tous !

Avec colère et indignation, je condamne ces actes odieux qui doivent faire l’objet d’une peine exemplaire !theo_0

 

Les limites démocratiques de l’exercice des questions écrites

A quelques semaines de la fin de la législature, j’interroge le Gouvernement sur les limites démocratiques de l’exercice des questions écrites.

Au cours de mes deux mandats, j’ai déposé plus de 3600 questions pour interpeller les différents Ministres sur les problèmes que vous releviez auprès de moi. Cela permet de relayer efficacement les besoins et les préoccupations des habitants, mais encore faut-il pouvoir avoir des réponses.


question-ecriteM. Jean-Jacques Candelier interroge M. le secrétaire d’État, auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement sur les limites démocratiques de l’exercice des questions écrites. Considérant qu’il est vital que les parlementaires puissent contrôler le Gouvernement et s’informer sur des sujets précis et ponctuels, il aimerait savoir pourquoi un nombre non négligeable de questions écrites restent aujourd’hui sans réponse de la part de celui-ci. De plus, des délais extrêmement longs, parfois de plusieurs années, rendent parfois les réponses en totale inadéquation avec le contexte temporel de la question initiale. Après avoir plafonné le nombre de questions écrites que pouvait poser chaque député à 52 par an, il lui demande si le Gouvernement va respecter le Parlement et répondre aux nombreuses interrogations des député-e-s, et donc des Français, avant la fin du quinquennat ou laisser ces questions en suspens.


Ma question sur le site de l’assemblée : http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-102466QE.htm